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26 avril 2012

Introspection

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25 août 2011

J'invoque une magicienne

  Du point de lumière du cercle Infini,

  J'invoque une magicienne...

  Gitane de la Voie lactée

  Elle rêve jusqu'aux étoiles et nage plus loin que l'eau

  Elle danse autour du feu et elle chante sous la pluie

 

  Parcourant les galaxies librement

  Elle partage sa créativité intuitive

  A l'aise dans la clarté comme dans l'ombre

  Elle jongle d'esprit tout autant que de corps

    Guerrière du rêve humain

  Elle donne l'amour de la vérité et de l'harmonie celeste

  Forte sous le soleil

Douce sous la lune

  Ancrée dans la terre

et souple sous le vent

  Pure enfant fleur de la Vague eternelle

    Chamane ni jeune ni vieille

  Créatrice ni pour ni contre

  Elle demeure équilibre centre et canal

    Clé de mes portes, porte de mes clés

  Clown, colombine

grâce et miroir vibrant

  Elève et enseignante

  Elle est l'impétueuse voyageuse qui marche à mes côtés

  Par monts et par vaux

dans l'effort et dans la joie

    Ose l'aventure car elle n'a pas de prix

  Vis la entièrement

  Car il n'y a rien d'autre

  Ni richesses ni titres  ni rien

 

  Qui ne soit  Magie, Amour et Rêve ...

Maintenant.

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22 janvier 2011

Des poèmes, j'en écris toutes les nuits...

(une nouvelle version d'un ancien texte)

Des poèmes, j'en écris
toutes les nuits...

Quand les gouttes épuisées
s'écrasent sur le verre
de mon plasma
dans le feu glacé des sueurs amères
d'improbables tracas
quand je ferme les yeux
digéré dans le ver
de metal lumineux
le sang sous la terre
qui pulse dans l'artère

Des poèmes, j'en survis
toutes les nuits
quand les cerisiers du japon
du jardin près du pont
me chantent comme ils sont fiers
je m'allonge sur la terre
et mes rêves s'éviscèrent
sur ces pétales éphémères
déversant à l'unisson
leurs nuées rose bonbon

Des poèmes j'en écris,
toutes les nuits dans mon lit
au fin fond de mon insomnie
des maux à nu j'en crie
des mots à mal je me délie
encore et encore chaque nuit

Des auras perdues je ris
de l'âme qui jaillit
dans la noire nuit
où ma folie surgit
poésie couleur de suie
qui chaque nuit me déconstruit
poésie de ton fer noir
mon cœur tu pétris...

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30 juillet 2009

La première règle est...

... qu'il n'y a pas de règles...

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18 juin 2009

Ma couille mon amour

Parfois, on peut se servir de la poésie pour une personne que - sans vraiment la haïr - l'on estime pas vraiment... un parasite virtuel par exemple... il y en a...

Ma couille mon amour

Ma couille mon amour
je t'aime quand tu crains
la mystique et la magie

Ma couille mon amour
je t'aime quand tu menaces
quand tu t'imposes comme un homme
un vrai qui fait face

Ma couille mon amour
je t'aime quand tu me frappes
quand tu me cognes et me tabasses
et quand ma tempe ramollie
s'offre à ton coude ici
telle une vague à marée basse

Ma couille mon amour
je t'aime quand tu nourris
ta haine d'illusions et d'ignorance
alors de tes idées la petitesse
rejoint de tes propos la violence

Ma couille mon amour
je t'aime quand tu opposes
tes démons à mon dieu,
quand tu crées par ton mépris
de si puissants liens
qu'il en deviennent joyaux
à la face des tiens

Ma couille mon amour
je t'aime quand tu m'inspires
joie et poésie
quand tu m'aimes à en crever
sans même te protéger
de la vie qui te portera les coups
que je n'aurais pas su te donner.

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26 avril 2009

L'hyper crise

J'hypercrie:  ze (mon argent)
Tu y perds k'riz (au flan)
Illy père crisse (des dents)
Elle ispère quizz (les diamants)
Nouzi paire crient zon zon (mis au ban)
Voulzy ptit père grisé (chez maman)
Ile zyper criiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiizzzent (pour mille ans)
El Zy(a) s'perche grease (abusé de rillettes du mans)

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1 avril 2009

Une tentative de réponse

J'ai reçu un message auquel je n'arrive pas à répondre. Mis à part les spams, c'est un événement rare.
Je dois profondément me remettre en question. J'ai un peu peur. Evoluer. Grandir. Guérir. Changer. Travailler. Découvrir.

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24 mars 2009

Je revis...

Je revis... pas seulement à cause du printemps mais pour ne plus avoir ce satané gluten pour me pourrir le colon et les reins... Mais est-ce un réel renouveau ou juste une nouvelle illusion ? Tout est si flou de nos jours, où je suis en même temps au sommet de mon évolution et totalement hors course... Pendant ce temps, le monde retient son souffle dans l'espoir de jours meilleurs... et continue à vivre la gentille hyprocrisie urbaine au jour le jour... Et voilà la parodie qui tire le rideau, d'une façon bien plus éclairée que dans les contrées lointaines, nos libertés individuelles ici aussi ont disparu mais il ne reste absolument personne pour s'indigner.

J'essaierai bien pour ma part un humour corrosif et antisocial mais il est hélas par trop hermétique pour prétendre à une véritable portée sociale. C'est ainsi et je l'assume tant bien que mal.

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17 mars 2009

Une image manquée...

Quel dommage que je fusse en retard pour aller travailler ce matin. J'aurais voulu photographier ce monsieur qui dormait assis sur un siège sur le quai à la Muette, les jambes croisées, les mains dans les poches et la tête si bien enfoncée dans le col de son blouson qu'elle ne laissait voir qu'un bout de son bonnet. L'impression d'une statue décapitée au milieu des parisiens vaseux.

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8 mars 2009

Tristes puces à Vanves...

Dieu qu'ils avaient la mine triste, le teint pâle et le verbe amer mes puciers de la porte de Vanves. Plus mouillés sous cette vilaine bruine que des chiens de troupeaux écossais, ils guettent le chineur, toujours trop rare, derrière leurs pauvres possessions, vendues toujours trop cher, qui luisent sous les gouttes. Quand ils se parlent d'un stand à l'autre, c'est immanquablement pour évoquer la dureté de leur exercice et la fin annoncée de leur petite entreprise. A peine s'ils raflent encore un billet de dix à un touriste japonais étourdi.

Quant aux habituels particuliers qui déballent leur fonds de tiroir au-dessus du périph', ils ont abandonné tout espoir et ont laissé à même le bitume les reliefs trempés de ventes improbables...

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